Le cloud computing est le nouveau Graal des fournisseurs informatiques !
Mais les dirigeants et les responsables informatiques sont perdus face à la débauche de promesses « marketing ». Ils s’interrogent sur la manière de bien exploiter « le Cloud » pour développer leurs entreprises.
Voici 6 façons de voir le cloud computing par le « petit bout de la lorgnette », de mal en exploiter le véritable potentiel d’innovation business, voire de le rejeter tout de go !
[1] Considérer le cloud computing comme un simple rhabillage de vieux concepts ou une nouvelle mode marketing.
[2] Voir uniquement le cloud computing comme un ensemble de technologies pour réduire les coûts, optimiser et virtualiser les infrastructures informatiques.
[3] Penser que le cloud computing n’est qu’un moyen de rendre flexibles la mise à disposition et la facturation de ressources informatiques
[4] Croire qu’il va d’abord falloir lourdement investir dans des infrastructures virtualisées adaptées au Cloud, avant de bénéficier d’une réduction des dépenses opérationnelles.
[5] Considérer qu’un projet de cloud computing est nécessairement un projet complexe et long, et qu’il nécessite une refonte totale des infrastructures informatiques.
[6] Rajouter l’expression « cloud computing » dans les projets en cours, mais ne surtout rien changer d’autre !
Mais voici aussi 6 recommandations pour tirer immédiatement profit des atouts du Cloud pour le développement du business, dans l’entreprise et avec vos partenaires !
[1] Exploitez immédiatement une application informatique utile à la marche de l’entreprise, en recourant à une solution délivrée en mode SaaS [software as a service].
[2] Raisonnez en termes d’innovation business, d’usages et de bénéfices tangibles pour les utilisateurs, et non de réduction du coût des infrastructures.
[3] Evaluez et comprenez le véritable impact business et le potentiel d’innovation des solutions SaaS multilocataires, mutualisées, et partageables avec vos confrères et partenaires.
[4] Commencez petit, mais tout de suite. Payez « à l’usage », uniquement pour ce qui est utilisé, sans sur-investissement en infrastructures ou en licences logicielles.
[5] Agissez immédiatement, lancez un pilote, faites un test, essayez, apprenez, révisez, avancez par itérations successives, déployez progressivement.
[6] Commencez peut-être par une solution « Canada Dry » [ça ressemble à du SaaS/Cloud, mais ce n’est pas vraiment du SaaS/Cloud], mais faites-le en toute connaissance de cause !
Au Club Alliances, nous croyons à l’alliance des compétences des fournisseurs de solutions en mode « as a service »...
… et nous aidons les développeurs de logiciels, les intégrateurs business, les experts métier et les sociétés de services à assembler, promouvoir et délivrer des « Solutions-as-a-Service » en réponse aux enjeux business des entreprises.
En alliant nos expertises, nous tirons parti de chacun des composants du cloud computing :
- BPaaS [business process as a service],
- SaaS [software as a service
- PaaS [platform as a service]
- IaaS [infrastructure as a service].
Ce que vous aussi, dirigeant ou directeur informatique avez intérêt à faire si vous voulez vraiment apporter les véritables bienfaits du Cloud à votre entreprise !
N’hésitez-pas à exprimer votre point de vue et à nous interroger pour creuser plus avant et vous faire une idée plus précise des enjeux, des promesses et des réalités du cloud computing et du SaaS.
PS. Au fait, prononcez bien « le cla-ou-de » et non pas «le cloude » !
Point de Vue rédigé par Loic Simon - Club Alliances - IBM